27 Octobre 2016
J'ai commencé à la rentrée un long roman, une saga préhistorique, qui ne me passionne pas, je dois bien l'avouer. Très descriptif, j'avais du mal à me fondre dans l'ambiance. Ma motivation à le poursuivre était de plus en plus vacillante. Le coup de grâce lui a été donné par les petits doigts furtifs et agiles de la Grenabée qui m'ont envoyée je ne sais combien de pages avant ou après, je ne sais pas (vive la liseuse... grr !).
Complètement désorientée dans le bouquin (rien ne ressemble plus à la description d'une caverne que la description d'une grotte...), je me suis mise en quête d'un bouquin léger et rapide à lire. Je suis tombée sur l'un de ces romans au titre à rallonge, "Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une", de Raphaëlle Giordano.
Dans la lignée des deux livres de Laurent Gounelle, lus récemment, celu-ci verse dans les théories de développement personnel actuelles. On suit la transformation, ou plutôt l'amélioration, de la façon de penser et de vivre d'une héroïne au bout du rouleau à la première page, et qui sera plus apaisée et épanouie à la dernière.
C'est le genre de livre qui fait du bien en suggérant des techniques simples de "positivisme". Tâcher de penser positif, pour voir et ressentir positif et finir par ne plus se laisser abattre par tous les facteurs contrariants, internes ou externes, qui encombrent notre esprit et notre environnement personnel et professionnel. On adhère ou pas à ce type de théorie, mais en tout cas, le roman est rafraîchissant.
Depuis, je suis retournée dans la grotte de Néandertal... l'ambiance n'est pas franchement pas la même...
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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