8 Janvier 2018
... quand elle ne s'invite pas à table avant le 6 janvier, jour de l’Épiphanie, et quand elle est faite maison.
Cette année, c'est hier, à l'occasion de Noël orthodoxe, que nous avons mangé notre première galette, confectionnée par Nana. Nana n'était pas complètement satisfaite de sa réalisation. Nous n'avons pas réussi à mettre le doigt sur ce qui faisait défaut : pas assez de sucre ? pas assez d'amande ? mais nous avons à nouveau eu le désormais traditionnel débat : galette achetée ou faite maison ?
Tout le monde est d'accord pour dire que la faire sa galette est le plus sympa et souvent le meilleur. Mais si on devait l'acheter, irions-nous chez le pâtissier du quartier ? Pas forcément car force est de regretter que, les années passant, la galette du boulanger est de plus en plus feuilletée mais de moins en moins frangipanée et hors de prix. Au contraire, certaines galettes du commerce, industrielles sont nettement moins chères et surtout, nettement meilleures.
En conclusion, en dépit de nos principes de consommation, dans ce cas précis, nous privilégions la grande distribution, qui ne nous raquette pas sous prétexte d'une tradition populaire. Bref.
Dans le cadre des lundis collectifs d’Alice et Zaza, on n'échappe pas à la tradition...
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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