21 Décembre 2011
L'année dernière, guidés par l'enthousiasme et la force de persuasion de Papa, nous avons adopté nos premiers "vrais" santons. Comme nous avions déjà une crèche classique complète, les deux mondes avaient coexisté pendant quelques semaines au pied de notre sapin artificiel.
Depuis, c'est à regret que je me suis nous nous sommes séparés des santons géants "made in Taïwan" et nous avons profité d'une escapade au marché de Noël pour étoffer notre crèche provençale en herbe. Evidemment, nous aurions bien tout acheté, mais le fait est que nous n'avons pas récemment joué gagné au loto.
Bref, nous sommes quand même repartis avec le minimum syndical : une crèche (THE crèche, offerte conjointement et généreusement par nos parents), le papa, la maman, le bébé (ici, planqué derrière un mur puisqu'il n'est pas encore né), le boeuf & l'âne.
Si on récapitule bien : 2 personnages et demi, 2 animaux et un élément de décor. On n'a presque pas dérogé à le règle familiale éditée l'année dernière et qui stipule qu'on a droit, chaque année, à s'enrichir d'un santon par membre de la famille et d'un élément de décor pour la communauté. Mouais...
Réaction du grand Scarabouil au déballage : "Oh c'est beau !... mais ils sont où les trois mages ?" Ben, en chemin, mon fils, en chemin... il leur faudra bien 1 an pour arriver jusqu'à nous à pied...
Enfin, les puristes (encore elles eux), voudront bien noter que si la crèche et le sapin sont dans la même pièce, l'une est à droite quand l'autre est à gauche (ou l'inverse, question de référentiel) et que l'une surplombe l'autre. Côtoiement hérétique chrétien/païen finalement toléré par la marraine du grand Scarabouil. Ouf ! on l'a échappée belle !
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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