26 Février 2014
Après avoir peaufiné le projet cuisine, nous avons pris rendez-vous avec l'installateur, et profité de l'occasion pour demander une réunion de chantier à notre conducteur de travaux (puisque c'est lui le détenteur officiel et unique de nos clefs jusqu'à la livraison).
Jusqu'à présent, nous lui faisions aveuglément confiance. Il nous relatait spontanément les soucis rencontrés et les résolvait quasi instantanément (comme cette poutre plate qui ne l'était pas et formait une "marche" incongrue dans deux des chambres). Nos relations étaient claires et son discours franc. Mais aujourd'hui que la date de fin de travaux contractuelle approche, il nous semble qu'il se montre bien moins "conciliant".
Le fait est que nous avons relevé quelques "problèmes" qui nous paraissent des détails mais qu'il prétend impossibles à résoudre comme le déplacement de 3 prises électriques dans la fameuse cuisine, dont une placée carrément sur le mauvais mur, en dépit des plans initiaux. De même, il manque une niche pour placer une box telecom dans le tableau électrique, pourtant explicitement indiquée dans le cahier des charges. "Ah non, ce n'était pas prévu" a prétendu le monsieur... Ah si, si si ! et au prix de cette niche, il serait quand même fort regrettable qu'elle ne soit pas installée comme initialement prévu.
Bref. Au terme de cette visite "dépitante" (si quelqu'un connaît un terme existant plus approprié, qu'il ne se gêne pas pour me le faire connaître), décision a été prise de rééplucher le cahier des charges dans le détail et de replanifier une nouvelle visite de chantier, sans atèle pour Maman qui pourra ainsi regarder dans les moindre recoins et sans enfants téméraires à surveiller.
Pendant ce temps-là, Scarabouils & Grenabée avaient pris possession du "jardin", se sentant déjà chez eux.
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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