9 Juillet 2017
Cette semaine, j’ai fait un pas en avant dans la mise en œuvre du changement mûri depuis des mois (pour ne pas dire des années) et acté la semaine dernière. J’ai averti les personnes concernées et rédigé le courrier qui va bien. Le train est en marche, sans retour possible, ou du moins sans retour envisagé. Je me sens soulagée ; mon mari est fier de moi et mon fils aîné pressé.
De son côté, Papa a corrigé des copies de Brevet, assisté à des réunions pédagogiques, fait cours à des salles vides et commencé à préparer ses cours pour l’an prochain.
De leur côté, les enfants ont continué à déversé le contenu de leur casier dans leur chambre (mais qui va ranger !?!?), ont fait des arts plastiques, joué à des jeux de société, pris des goûters, regardé des films… ont fini de travailler, en somme. Les couchers étaient déjà plus tardifs et les levers aussi, en contrepartie. Ils ont offert leur cadeau à leur enseignant respectif. Le grand était content de me rapporter que le sac cousu par mes soins avait beaucoup plu à sa maîtresse qui s’en était servi tout de suite. Moi, j’étais contente de l’entendre.
La semaine s’achève avec un déjeuner en terrasse et les vacances des uns commencent par une soirée au jardin, entre amis. Demain, seule à travailler pendant les trois prochaines semaines, je vais prendre mon rythme estival de matins moins pressés et plus étirés, d’autant que cette année, aucun enfant n’est inscrit au centre de loisirs, je n’ai donc que moi à préparer.
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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