29 Novembre 2008
Mon MariGentil se met quelquefois souvent toujours en 4 pour me surprendre et me faire plaisir. Cette fois-ci, il m'a emmenée assister à la comédie musicale Grease, au théâtre Comedia. Il ne pouvait pas mieux tomber (mais il me connaît bien).
Il faut savoir en effet que Grease, le film avec la blonde Olivia choucroutée du chignon et le brun Travolta gominé de la banane, fait partie de ma vidéothèque idéale (chacun ses tares vices). Je l'ai vu des centaines dizaines de fois en VF, en VO, sous-titré, pas sous-titré, en entier, par morceaux (choisis), dans l'ordre, dans le désordre, en cassette et en DVD. Je connais les dialogues et les chansons par coeur (j'ai même la BO dans ma discothèque idéale - et aussi les Beach Boys, mais ce n'est pas le sujet...) et fut une époque, les chorégraphies aussi. Tout ça pour dire que j'étais un public plutôt conquis d'avance.
Et... (... roulement de tambour...), j'ai été... (... re-roulement de tambour...)... enchantée !
Bon, c'était carrément dans le désordre, l'adaptation en français des textes de certaines chansons était parfois à mille lieues des originaux, mais le tout était festif et enlevé.
Les acteurs-chanteurs-danseurs étaient à peu près tous épatants, excepté l'interprète du rôle principal qui maîtrise techniquement mais n'a aucune présence. Les vraies vedettes étaient Rizzo (époustouflante) et Kennickie (formidable).
En bref, une bonne soirée. Mais il faut que je revoie le film... juste pour pouvoir faire une analyse comparative plus poussée.
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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