16 Décembre 2016
Après le spectacle dimanche, nous avons flâné devant les vitrines illuminées et animées des grands magasins.
D'accord, il ne faisait pas vraiment nuit (il était 15h) mais les trottoirs étaient noirs de monde (ça compte ?).
Dans les vitrines du Printemps, des enfants rêvent. C'est coloré, féérique, enfantin, gai, sucré et parfois... étrange...
Dans celles des Galeries Lafayette, le décor est blanc sur blanc, plus minimaliste mais très (plus ?) joli et poétique. C'est là que les garçons, surtout le moyen, se demandent pourquoi on ne rentre pas chez nous, maugréant et ronchonnant à qui mieux mieux sur le thème "Quand on a vu une vitrine, on les a toutes vues". Cependant, notons qu'ils se sont montrés plutôt cool ce jour-là, toujours ravis qu'ils sont de se rendre à Paris. Et de toute façon, nous avions vu ce qu'il y avait à voir et arrivions à une bouche de métro pleine de leur espoir de rentrer suffisamment tôt pour... jouer à "Hyrule warriors" avec leur père. Comme quoi tout le monde n'a pas les mêmes priorités...
Nous avons perdu la Grenabée de vue pendant 15 secondes, un temps assez long pour qu'elle soit secourue par des touristes italiens qui ont eu la bonne idée de les porter à bout de bras au-dessus de leur tête... J'ai ainsi repéré son pompon, juste au-dessus de sa bouille crispée et remercié la blonde italienne. A peine le temps d'avoir peur.
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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