Les cartes de voeux, ma désuétude

Motivée par la perspective de ce lundi où l’on parlerait de cartes de vœux, j’ai anticipé cette activité cette année. Du coup, grâce à ce groupe inspirant, mes destinataires recevront leur carte avant le mois de Février.

Avant, c’est-à-dire quand je n’avais pas d’enfant, j’achetais les cartes dans le commerce et en choisissais une différente pour chacun. Quand je suis devenue mère et que j’ai dû faire face à l’obligation de faire part de cette naissance au plus grand nombre, j’ai découvert les sites d’impression de moult genres de cartes personnalisables en nombre, qui fonctionnent plutôt bien. Depuis, je fais faire mes cartes de vœux de cette manière.

J’essaie toujours d’écrire à la main un petit message personnalisé, mais il faut reconnaître qu’il n’est pas facile de se renouveler et d’être original. Mais je pense sincèrement que c’est l’intention qui compte. En effet, quand je reçois moi-même une carte, mon premier plaisir est de me dire que l’expéditeur a eu la gentillesse de penser à moi. Et si les formulations de vœux ne sont pas souvent originales, la sincérité de celui qui les écrit dépasse tous les clichés. Par ailleurs, prendre la peine de poster une carte, par ces temps numériques, signifie aussi prendre le temps de penser plus particulièrement à son destinataires, plutôt quelques minutes que les quelques secondes qui suffisent à expédier un texto collectif.

Bref, j’aime préparer et envoyer des cartes de vœux, tout autant que j’aime en recevoir.