Quantum of Solace

En ce week-end férié, après une semaine de m... baladie, Maman a posé un jour et toute la famille s'est rendue passer 3 jours à Montpellier. Les baby-sitters volontaires se battant bousculant au portillon pour garder Milan, les parents se sont précipités au cinéma voir le dernier James Bond, Quantum of Solace (le jour même de sa sortie, ce qui ne nous était pas arrivé depuis longtemps).

On se rappelle ici qu'avant Casino Royale, j'étais complètement ignare de la série et que depuis, je suis amoureuse de Daniel Craig devenue fan. Cette fois, j'étais donc aussi entousiaste presque plus que mon cinéphile de mari.
Verdict : il faut bien l'avouer, ce volet est un tiers de cran en dessous du précédent. L'histoire reprend à l'endroit où elle s'était arrêtée dans Casino Royale (qu'il faut donc avoir vu pour saisir toutes les subtilités de Quantum...). C'en est la suite immédiate mais le film donne l'impression d'un épisode de transition, qui explique beucoup de choses, en révèle certaines autres mais soulève d'autres questions et ne résoud pas tout. Clairement, on attend une suite avec impatience. Du coup, pour ne pas repartir avec un petit arrière-goût de pas fini, on a attendu la dernière seconde de la dernière minute du générique (celle où le personnel du cinéma nous faisaient les gros yeux alors que les spectateurs de la séance suivante s'installaient déjà) pour se faire confirmer que "James Bond will return". Ouf !

Pour le reste, Daniel Craig est toujours aussi parfait, ce qui n'est pas le cas de la Jamesbond girl assez insipide (l'actrice) et grossière (son personnage, ça c'est pas de sa faute).

A suivre, donc.