21 Avril 2013
En ce samedi matin, en passant près du parc, le Minipouce et moi avons vu des chapiteaux et des poneys. De loin, on peut lire une banderole annonçant les "Francofloraries" On ne sait pas de quoi il s'agit mais le beau temps nous encourageant, on se promet de revenir l'après-midi avec le grand frère et la petite soeur (pas le papa qui est de déménagement).
Pendant le déjeuner, on ne parle que de poneys, de petits, de grands, de tours de parc, etc. On attend (im)patiemment que la petite soeur de réveille de sa sieste. Personne ne traîne pour enfiler blousons et chaussures. Personne ne traîne dans la rue. On arrive donc vite au parc pour la fameuse manifestation, dont on fera finalement vite le tour.
Les Scarabouils sont mal habitués : ça leur fait tout drôle de voir dans le parc, attachés par des cordes au arbres, une chèvre, un mouton, une truie... autant d'animaux qu'ils voient normalement à la ferme. Déroutés, ils n'oseront pas s'en approcher. De toute façon, on n'oublie pas qu'on est venu pour les poneys... qu'on ne voit pas. Un petit tour au stand maquillage. Toujours pas de poneys. Un autre détour vers un atelier de décoration florale... qui affiche complet et... toujours pas de poneys. Et...
Et c'est tout car non seulement le nombre d'activités était réduit mais les enfants n'en étaient pas la cible principale. Et les poneys n'étaient présents que le matin (mais rien n'en informait la chalant). Du coup, nous nous sommes rabattus sur l'aire de jeux. Au soleil, même froid, c'était bien la plus chouette activité de l'après-midi.
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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