Se défouler au grand air

Samedi dernier... on veut profiter d’un week-end qui s’annonce encore chaud pour s’aérer et se faire des bleus.
Objectif : rafting en stade d’eau vive. Pour une fois que les copains proposent autre chose que des séances de Laserquest ou de Paint ball, je suis partante. Mon mari un peu moins, qui craint que je me fasse mal...

De toute façon, nous arrivons aux étangs pour constater, dépités, que le rafting est complet pour l’après-midi. Nous nous rabattons donc sur l’accrobranche et l’accrospeeder (la même chose, sans baudrier, mais avec filet – qui fait super mal - en cas de chute).
Résultat : à chacun sa technique, nous sommes tous arrivés au but ou pas loin, Artur freiné dans sa progression par le filet de la mort de l’an 2000 et moi, lamentablement emmêlée la tête en bas, un pied dans un anneau et l’autre dans une corde et les bras dans les choux (non, pas de photo, on n’avait pas que ça à faire !).

Le lendemain, Papa avait des courbatures et Maman des bleus partout qui ont été décomptés, comptés et recomptés par les Scarabouils impressionnés. En tout cas, rien de mieux que se défouler physiquement pour se vider la tête de tous les soucis de la semaine précédente et aborder sereinement la rentrée du grand Scarabouil. On n’en dira pas autant pour le retour au travail de Maman mais ceci est une autre histoire. La prochaine fois, on emmènera notre grand, je suis sûre que ça lui plairait.