8 Septembre 2011
Dimanche 17 juillet...
A force d’entendre parler de Rosas par-ci, Rosas par-là, son marché, sa plage... nous nous sommes décidés à nous y rendre. Mais à peine entrés dans la ville, nous l’avons tout de suite détestée. Sous la bruine, nous l’avons trouvée laide ; par ce jour de marché, nous l’avons trouvée encombrée et sale, pas accueillante pour un sou. Même les Scarabouils sont sceptiques :
Mais nous lui avons laissé une chance et sommes restés. Nous avons parcouru le marché : sale et malodorant. Puis en cherchant un restaurant avant de rentrer dans nos pénates, nous sommes tombés sur des poneys qui n’attendaient que nos deux Scarabouils pour se dégourdir les pattes. Les deux, oui, même le mini-pouce qui n’était pas peu fier sur sa monture (malgré les réticences de son père, et grâce à la force de persuasion de sa mère).
Un petit tour de manège après le repas a fini de sauver notre matinée et nous a même donné un regain d’enthousiasme pour faire une autre visite, mais c’était sans compter la bonne mauvaise humeur des enfants ce jour-là... La faute au temps orageux ?
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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