29 Mars 2017
Ce dimanche, le soleil était radieux ; nous en avons profité pour aller au cinéma, mais à pied. Au programme, « La Belle et la Bête », version film chanté.
L’histoire, tout le monde la connaît. Belle est une jeune fille rêveuse, férue de lecture et avide d’aventure. Orpheline de mère, elle vit avec son père, inventeur de son état. De retour d’une expédition au marché et confronté à un violent orage nocturne, il se retrouve au château de la Bête, où il croit trouver refuge. Au contraire, il est retenu prisonnier par la Bête pour avoir osé cueillir une rose pour sa fille dans les jardins du château.. Ne pouvant supporter de savoir son père emprisonné à perpétuité, Belle prend sa place, ignorant que le monstre et tous les habitants de son château sont victimes d’une terrible malédiction.
Des versions filmées ou dessinées, il y en a des dizaines. Cependant, celle-ci se démarque vraiment. Le film est magnifique, Emma Watson est merveilleuse. Il y a de la poésie, de l’humour, de la frayeur. On passe par toutes sortes d’émotions. Contrairement à Sahara, qui finalement avait plu inégalement aux uns et aux autres, la Belle et la Bête a fait l’unanimité. Même la Grenabée s’est tenue tranquille pendant la presque totalité des 2h20 de film.
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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