Le changement, c’est maintenant (ou presque)

Cette semaine peut être considérée comme la dernière dans l’entreprise pour laquelle je travaille depuis plus de 12 ans. En effet, je passerai trois des quatre derniers jours officiels en formation.

Comme la précédente, elle a plutôt mal commencé en termes d’horaire, mais en pire : quitte à être (très) en retard, j’ai décidé de faire zapper la garderie aux enfants. Je n’étais plus à 10 minutes près… Je me suis même fait sermonner par l’aîné, ponctuel de nature. Pour ne pas le traumatiser davantage, nous avons observé scrupuleusement la routine habituelle le reste de la semaine.

Alors qu’ils planchent sur le sujet depuis quelques temps déjà, les enfants on finalisé leur liste de souhaits pour Noël. Observation : celle du grand est très raisonnable, à la fois en quantité et en montant (le cadeau qu’il désire par-dessus tout ne coûte que 12,99 € !) celle du moyen est geek, celle de la petite dernière est foisonnante et inachevée (des poupées, des voitures, des déguisements de superhéros, des activités manuelles, etc.).

Après 10 jours de tergiversation à ne pas savoir quel nouveau livre choisir après "Revival", j'ai commencé 2 nouveaux romans en parallèle : "Mémé dans les orties" d'Aurélie Valognes le soir à la maison, et "En attendant Bojangles" d'Olivier Bourdeaut pour la pause déjeuner.

Hier matin, j’ai testé in situ les conditions d’une activité d’appoint qui pourrait me procurer un complément de revenus. Tout s’est bien passé, c’est tentant, mais comme d’habitude, je me demande si je vais y arriver, si je saurai bien faire, si, si… Hier soir, j’ai cessé de cogiter le temps d’un dîner avec le parrain du moyen Scarabouil.

Ce week-end, sur une proposition du grand Scarabouil, nous nous sommes lancés dans l’élaboration d’un calendrier de l’Avent "décorations de Noël" pour la maison : 24 décorations à fabriquer et installer un peu chaque jour jusqu’à Noël. On ne risque pas de manquer. Mais avant cela, devant l’insistance croissante des trois réunis, nous avons installé la crèche provençale

Sinon, aujourd’hui, c’est repos…