La fête de la halte-garderie

Contrairement à l'année dernière, cette fois-ci, on n'était pas vraiment dans le coup. On a même failli louper la date. On n'a même pas fait de gâteau. Papa n'y était même pas.... C'est la honte, non ? En plus, il avait plu toute la journée...

Mais finalement, Maman et les deux Scarabouils en ont bien profité. Le buffet installé dans le coin-repas débordait insolemment était tellement bien garni que personne ne s'est rendu compte de l'absence de notre traditionnel gâteau au chocolat. Le grand s'est gavé de bonbons (pour une fois qu'il en avait le droit) pendant que le petit s'est enquillé la moitié d'une assiette de mini-sandwiches au fromage que je me demande encore comment il a fait pour les attraper (quoi, il aurait encore grandi ?!). Pendant ce temps-là, je n'ai rien mangé, trop occupée à courir derrière le speedy-baby ou à compter le nombre de crocodiles avalés par le morfalou, puis à discuter, papoter, bavarder avec les nounous et les autres parents après avoir décidé de laisser mes petits vivre leur vie. J'aviserai bien au moment de partir...
Moment de partir qui a été maintes fois repoussé parce que les Scarabouils étaient fort occupés. Milan se sentait comme chez lui, retrouvant ses marques d'il n'y a pas si longtemps.
Esteban, pas mieux, qui est un vrai sans-gêne et a entraîné avec lui une belle petite bande de chenapans. J'ai bien essayé de faire semblant de ne pas le connaître, mais il n'a pas arrêté de m'appeler "Maman !" à tout bout de champ (genre "Regarde ! je suis en train de faire une bêtise ! Tu es fière de moi ?"). Aucun moyen de le renier !
Cette fois-ci, les nounous avaient préparé un diaporama avec plus de 400 photos ! où j'ai reperé de chouettes photos de mon Scarabouil. Je compte sur son charme légendaire auprès de ses nounous préférées pour en récupérer quelques-unes...

Pour l'anecdote, ici avec L., sa copine de chamailleries ; il paraît qu'ils passent leur temps à se chercher pour se pouiller. Ca promet !