16 Juillet 2010
Notre samedi funeste s'est finalement achevé sur une douce soirée. Et ce week-end a aussi eu ses bons moments...
... comme ce troupeau de vaches débonnaires rejoignant leur pré. Le grand Scarabouil n'aurait n'a même pas eu peur. C'est sans doute sa bravoure qui l'a ancré aussi solidement aux épaules de son père tout le temps que les vaches étaient sur notre chemin et... qui l'a fait hurler au moment de retourner à la terre ferme (ainsi que pendant les longues minutes qui ont suivi...).
... comme cette demie-heure sur la plage écrasée de soleil du Crotoy, passée à ramasser des cailloux (serait-ce génétique ?) et... qui s'est soldée par le plus gros caprice de tous les temps à l'heure de la quitter pour reprendre le train.
... comme ces promenades sur la baie, à la fraîcheur de la fin de journée... ponctuées d'épuisants "Je veux porté !... non, je veux marcher !... Maman, attends-moi !... non, Papa !..."
Malgré le chaos ambiant, au moins un membre de la famille a profité de cette escapade familiale pour se ressourcer. Comme dirait l'autre, y en a qui ont de la chance...
Sinon, depuis cette date, le grand Scarabouil prend son lait du matin dans un bol, comme un grand, et Maman est passée ceinture noire de change de couche en aveugle (c'est ça de partager une chambre à quatre...). Aucun débordement ni aucun enfant réveillé à déplorer. On n'aura pas tout perdu...
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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