25 Février 2019
Aujourd'hui, dans le cadre des lundis collectifs, on devait parler podcasts... Pour être honnête, j'ai une notion très floue et certainement simpliste de ce qu'est un podcast : un genre de replay d'émissions de radio. J'aurais pu me renseigner en vue de ce rendez-vous, mais comme pour beaucoup de choses, je me suis laissée débordée par le temps.
Bref, à la place, j'ai décidé de parler d'un des sujets précédents, que j'avais laissé passer : les soldes. Adeptes ou non ? Dans quel état sont nos armoires ? On donne, on vend, on range ? On fait le point sur nos méthodes achat et rangement.
Chaque année, je me dis : "Je profiterai des soldes pour..." et chaque année, la fin des soldes arrive avant que j'aie mis le pied dans un magasin ou le nez sur un site marchand. D'abord parce que faire les boutiques relève pour moi plus de la contrainte que du plaisir. Je me lance toujours pleine d'entrain mais dès la deuxième boutique, je m'agace. De ne rien trouver qui me plaise ou pas à ma taille, ou mal taillé ou trop ceci ou pas assez cela. Après le troisième magasin, en général, je rentre chez moi, mécontente d'avoir perdu mon temps. C'est pourquoi je remets toujours cette tâche au week-end suivant, puis au suivant car je trouve toujours mieux à faire, ou plus urgent.
Pourtant, ma garde-robe aurait bien besoin de voir quelques pièces renouvelées, mais avec mon aversion pour le lèche-vitre, c'est un peu le serpent qui se mord la queue. Et de toute façon, l'achat d'un nouveau pantalon n'entraîne pas forcément le rebut de celui qu'il est censé remplacer qui , bien qu'usé jusqu'à la corde est LE pantalon dans lequel je me sens bien. Pour bien faire, il faudrait que je vide complètement mes placards pour m'obliger à changer.
Vider signifie jeter ce qui est usé ou taché et donner ce qui reste correct. J'ai bien essayé de vendre, mais les acheteurs négocient toujours âprement, même une pièce proposée à 2 €. Cet exercice me fatigant autant qu'il me consterne, je m'y retrouve mieux en donnant, la situation est plus claire. C'est ce que je fais systématiquement avec les vêtements des enfants.
D'ailleurs, dans la pratique, ce sont les enfants qui bénéficient des soldes, quand, comme notre aîné cette année, ils ont la bonne idée de faire un pic de croissance pendant cette période.
Mais finalement, entre nous, je me demande si les soldes ont encore un intérêt commercial alors que nos messageries électroniques débordent chaque semaine de promotions plus mirobolantes les unes que les autres...
Femme de prof, mère de deux Scarabouils et d'une Grenabée, je dépose ici les aléas et anecdotes qui feront les souvenirs de notre vie de famille
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