Projets d'été

Dans le cadre des lundis collectifs, rendez-vous est donné cette semaine pour parler de nos projets de vacances. Étaient-ils déjà prévus avant l'ordre de confinement ? Ont-ils dû être annulés ? Finalement que ferons-nous ?

Pour vous donner une idée de nos habitudes, en mars, nous commençons seulement à penser aux vacances de printemps, pour lesquelles nous n'avons pas besoin de réserver puisque nous les passons généralement au bord de la Méditerranée, chez Papi et Mamie. Et l'année dernière, j'ai commencé à planifier notre périple au Royaume-Uni en mai pour un départ tout début juillet.  L'inconvénient est que l'on n'a pas toujours ce qu'on veut, mais l'avantage est que cela nous pousse hors des sentiers battus. Tout cela pour dire que lorsque le confinement a été décrété, les vacances d'été n'étaient pas du tout à l'ordre du jour. 

L'avantage ?  aujourd'hui, nous n'avons pas à nous dépatouiller avec des annulations ou des reports de séjours. L'inconvénient ? peut-être subissons-nous des tarifs plus élevés qu'à la normale. En tout cas, depuis dimanche, nous savons que nous passerons une semaine dans une chouette maison à Civray-de-Touraine, village que nous connaissons déjà, à faire découvrir quelques Châteaux de la Loire à nos trois incultes d'enfants qui s'en réjouissent d'avance... En vrai, à part la Grenabée qui a encore l'âge de s'enthousiasmer pour tout, les ados fini ou en devenir que sont ses frères n'ont pas fini de nous lister toutes les bonnes raisons qui devraient nous faire renoncer à ce projet. Mais comme nous sommes les parents décideurs, et que notre ministre promeut avec ardeur les vacances apprenantes, nous avons, nous, deux bonnes raisons de ne pas les écouter (sinon, on les envoie en colo studieuse !).

Ensuite, nous passerons un peu de temps au bord de la mer, où ils satisferont leur désir de ne rien faire... (à moins que...)