Histoires de salades

Dans le cadre des lundis collectifs, on échange cette semaine des recettes de salades. Et c'est en réfléchissant à ce  thème que je me suis rendu compte que nous ne mangions pas beaucoup, voire pas du tout, de salades composées au quotidien.

Chez nous les salades sont généralement à composante unique : de la carotte râpée seulement, de la salade verte nue, de la tomate qui se suffit à elle-même, que du concombre, etc.

Non, à bien y réfléchir, nous ne faisons jamais de salade composée. Mais nous mangeons cependant bien celles des autres : des salades vertes agrémentées d'avocat, de tomate, de noix, de tout ce qui tombe sous la main de mon beau-père (recettes opportunistes, donc) aux salades richement garnies de fromage, jambon, croûtons, crevettes... des restaurants que nous fréquentons quelques fois dans l'année (recettes savourées mais pas étudiées dans le détail).

Nous pourrions réaliser les salades familiales : tomate/concombre/oignon/fromage ou poivrons grillés de Serbie par exemple, ou la salade de riz accompagné de thon, œuf dur, tomate, maïs et emmental de mon enfance et des pique-nique. Mais il faut croire qu'on a la flemme.

A y réfléchir encore un peu plus, la seule salade composée que nous prenons le temps de préparer est la pastèque/mozzarella qui se mange sans faim et dont la recette est simplissime : de la pastèque débitée en cubes mélangée à de la mozzarella coupée en petits morceaux, sans aucun autre assaisonnement chez nous. 
Simple, rapide et efficace.